DISCOURS ET ACTIONS COMMUNICATIONNELLES DE L’ÉTAT IVOIRIEN DANS LA DYNAMIQUE DE LA DIPLOMATIE CLIMATIQUE
Auteur(s) : IRIÉ Bi Tié Benjamain et DJADOU Ané Armel
Il ressort de bon nombre de recherches que l’enseignement dans une langue que l’apprenant maitrise mieux est le meilleur moyen pour faciliter les apprentissages. C’est dans ce cadre que le rapport entre l’enseignement des notions liées au réchauffement climatique et l’éducation bilingue est établi pour aider les apprenants à bien acquérir les savoirs de cette problématique qui menace l’avenir de l’humanité. L’objectif principal de cette recherche est de montrer que les enjeux liés au changement climatique sont bien compris par les apprenants lorsque qu’on traduit les connaissances de la langue d’enseignement dans la langue nationale maitrisée pour l’apprenant. Cette hypothèse s’est vérifiée à l’issue de cette recherche menée à l’aide d’une méthode mixte qui combine les avantages de la méthode qualitative et celle dite quantitative. Au terme de notre analyse, il est apparu que les difficultés restent entre autres l’insuffisance de la formation des enseignants et de celles relatives à la documentation. Des suggestions pour lever ces obstacles sont faites pour une meilleure appropriation du concept de réchauffement climatique. Ces recommandations vont dans le sens de l’amélioration de la formation initiale et continue des enseignants et la production d’une documentation conséquente qui traite de la question du changement climatique. Toute chose qui contribuera à l’amélioration de la qualité des enseignements-apprentissages et à la conscientisation des apprenants.
It appears from a good number of researches that teaching in a language that the learner masters best is best for facilitating learning. It is in this context that the relationship between the teaching of concepts related to global warming and bilingual education is established to help learners acquire knowledge of this issue which threatens the future of humanity. The main objective of this research is to show that the issues linked to climate change are well understood by learners when we translate knowledge from the language of instruction to the national language mastered by the learner. This observation was verified at the end of this research carried out using a mixed method which combines the advantages of the qualitative method and the so-called quantitative method. However, the difficulties remain, among other things, the insufficient training of teachers and those relating to documentation. Suggestions for containing these obstacles are proposed to facilitate the use of national languages in teaching. These recommendations go in the direction of improving the initial and continuing training of teachers and the production of substantial documentation that addresses the issue of climate change. Anything that will contribute to improving the quality of teaching/learning and raising awareness among learners.
Auteur(s) : IRIÉ Bi Tié Benjamain et DJADOU Ané Armel
Auteur(s) : BOUADOU Koffi Jacques Anderson